Perle rose
Converti en 24 heures chrono
Hôtel Mercure Toulouse Centre Wilson Capitole
De parole de Toulousain, la Ville rose est la plus cool d’entre toutes. Forcément, ça rend curieux. Entre monuments majestueux et ruelles escarpées ultra-photogéniques, Toulouse va vous taper dans l’œil. Mais c’est en trinquant sur les bords de la Garonne ou en dégustant un cassoulet qu’elle vous convertira définitivement. A 5 minutes du Capitole et à deux pas de la place Wilson, l’hôtel Mercure vous accueille dans une ambiance cosy, comme à la maison. À l’abri du tumulte, il dispose de chambres décorées avec charme donnant sur un patio, d’où vous pourrez prendre votre petit-déjeuner. Et vous demander si vous n’allez pas rester encore un peu.
La ville rose voit violet
Les plaisirs du coin
Ne vous y trompez pas, tout n’est pas rose ici. L’un des emblèmes de la capitale de l’Occitanie est la violette de Toulouse. Tous les ans en février, la ville organise la Fête de la Violette où elle est déclinée sous toutes ses formes (parfum, plantes, bonbons…) sur la place du Capitole. À l’hôtel Mercure aussi, on célèbre « la fleur du pays ». D’abord dans la décoration, avec des représentations de Toulouse en tête de lit où sont posées des violettes tels des nénuphars sur la Garonne, mais aussi au buffet, où l’on peut goûter un club sandwich à base de moutarde à la violette.
Crédit photo : Tobias Mockenhaupt / Unsplash
Une fontaine sous influence Manneken-Pis ?
La petite histoire
Place Saint-Étienne, se trouve la plus vieille fontaine de la ville : le Griffoul (« source jaillissante » en occitan). Ce monument Renaissance, édifié en 1547, offre aux yeux des passants quatre gentils bambins tenant chacun un poisson crachant un filet d’eau. Peu le savent, mais les occupants de cette fontaine n’ont pas toujours été aussi sages ! En 1593, le sculpteur Antoine Bachelier avait fait installer quatre marmousets de bronze « urinant » dans la vasque. Jugées choquantes à l’époque, les statuettes ont été fondues et rendues « pudiques ». Il suffit d’un peu d’imagination pour voir derrière ces chérubins dociles les jumeaux du Manneken-Pis !